Au bout d'un moment, j'entendis des pattes trottinante vers ma tanière avant d'entendre mon nom. J'ouvris les yeux que je plissa rapidement éblouit par le soleil de midi. Je vis une tête dorée devant moi et me leva en m'étirant, et en baillant à m'en décrocher la machoire. Je fini par m’assoir et sentis sa nervosité. Amusé je lui répondis :
- Bien, nous pouvons donc y aller !
Je m'ébroua pour décroché les petits bouts de mousses accroché dans ma fourrure et avança vers la sortie en pensent que cette partie de chasse serait un bon moyen de l'évaluer même si il avait déjà fais ses preuves dans ce domaine.